Une plainte y a été déposée à son encontre par Adji Sarr, une jeune femme l’accusant de “viols répétés” et de “menaces de mort”.
Il ajoute que “le vétéran Moustapha Niasse a encore une fois l’occasion d’étaler sa science politique en bouclant dans les délais indiqués la mise à mort politique d’Ousmane Sonko”.
Les quotidiens ne se sont pas intéressés qu’à la démarche entamée par l’Assemblée nationale, concernant le dossier judiciaire Adji Sarr-Ousmane Sonko.
“Sonko est un opposant teigneux, mais aussi un député du peuple. Les affaires politiques se règlent de manière politique, mais avec notre quatrième président, toutes les affaires sont traitées devant… le prétoire. Même si les juges sont mobilisés pour rendre justice, le dernier mot reviendra toujours au chef”, écrit-il.