Le président sortant de l’Ums n’a pas jugé opportun de répondre à ces critiques faites aux magistrats. En effet, Ousmane Chimère Diouf estime que « cela pouvait être juste des critiques car, les magistrats doivent évidemment être critiqués.
Mais quand il s’agit d’attaques venant notamment du bord de la politique, les magistrats sont tenus à garder le silence face. La justice ne doit pas suivre le rythme des politiciens… « , a précisé le président sortant de l’Ums qui rappelle que le bureau sortant a hérité d’une association qui traversait les moments les plus difficiles de son existence. Mais l’équipe a tenu bon pour avoir ensuite le bilan qui fait sa fierté.
DAKARACTU