Au total, 11 dirigeants hongkongais sont dans le collimateur de Washington. En tête de cette liste, la cheffe de l’exécutif Carrie Lam qui avait défendu la loi sur la sécurité nationale, imposée par la Chine, comme un outil crucial pour mettre fin au chaos dans l’ancienne colonie britannique.
Parmi les responsables visés également, les chefs de la police, le secrétaire à la sécurité et celui à la justice.Tous sont accusés d’aider la Chine à restreindre l’autonomie du territoire et à limiter les libertés de ses habitants. « Des actes inacceptables », souligne Steve Mnuchin. Le secrétaire américain au Trésor a précisé que ces nouvelles sanctions prévoient notamment la saisie des biens des dirigeants hongkongais aux États-Unis.
avec RFI.FR