Selon ce journal, cette idée a été agitée par le ministre de la Santé et de l’Action, Abdoulaye Diouf Sarr, à l’occasion d’une réunion jeudi du comité national de gestion des épidémies (CNGE), à la suite des directives données mercredi par le chef de l’Etat, Macky Sall.
L’objectif était de “proposer de nouvelles mesures face à la remontée en flèche des cas de contamination au coronavirus qui font craindre une deuxième vague au Sénégal”.
“Je présente mes excuses à toutes les autorités religieuses du Sénégal et au président de la République”, a-t-il déclaré, dans des propos rapportés par le journal.
Selon le journal, “potentiellement passible de poursuites judiciaires pour les faits de séquestration, torture, maltraitance, trafic d’êtres humains, il relativise la situation”.