Le président bélarusse Alexandre Loukachenko faisait référence au vaste mouvement de contestation interne de 2020 qu’il estime être le résultat d’un complot occidental. S’exprimant devant une assemblée populaire pan-bélarusse de 2.700 apparatchiks de tout le pays, il a jugé que la Biélorussie avait «subi une attaque des plus cruelles de l’extérieur». «Mais le Blitzkrieg a échoué, et nous avons conservé (le contrôle du) pays», a-t-il assuré devant ce congrès. Au pic du mouvement de contestation de 2020, la plus grande vague de protestations depuis son arrivée au pouvoir en 1994, le président biélorusse avait promis de présenter lors de cette assemblée des réformes institutionnelles et constitutionnelles (AFP).
RFI