Le malheur des uns fait le bonheur des autres. Les acteurs du transport routier dont les conducteurs des cars de transport en commun « cars rapides » qui prennent les emprises du projet Bus rapid transit (Brt) dictent leur loi aux usagers.
En effet, les chauffeurs de ces véhicules ont commencé depuis quelques jours a haussé le prix de transport. Ils imposent des tarifs hors normes en ces moments de conjoncture économique difficile alors que les « cars rapides », étaient le moyen de transport le moins cher.
Selon le journal « L’As », dimanche dernier, il fallait payer 200 francs CFA entre le rond-point « Case bi » et « Patte d’oie » dont le tarif normal est de 75 francs. Ce qui constitue une dégradation. Pour une bonne régulation du milieu du transport commun, les autorités sont invitées à réagir pour régler cette situation.
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