« Les armes à feu ne devraient jamais être utilisées pour disperser des manifestants », rappelle dans son communiqué Jeremy Lawrence, le porte-parole du Haut Commissariat des Nations unies aux droits de l’homme.
La police kényane est accusée d’avoir usé de balles réelles pour réprimer les manifestations du 12 juillet. Le conseil appelle à ce que les enquêtes ouvertes aboutissent rapidement.
Le clergé kényan est également sorti de sa réserve ce vendredi. « Nous craignons que le sentiment croissant de désespoir ne pousse le pays vers l’instabilité et éventuellement la violence », peut-on lire dans une déclaration signée par le Conseil national des églises et la Conférence des évêques catholiques du Kenya.
RFI