Le bureau de l’Assemblée nationale et la conférence des présidents ont acté jeudi un premier pas allant dans le sens de levée l’immunité parlementaire du l’opposant Ousmane Sonko, accusé de « viols répétitifs avec arme à feu et menaces de mort », par une jeune masseuse de 20 ans.
Ce dossier a été soumis à la Commission des lois, chargée de mettre sur pied une Commission Ah hoc, au plus tard, le 15 février. Selon nos confrères de Source A, la plénière est prévue le 22 février.
PRESSAFRIK