Sport

Le sport et le diabete

 

Le mouvement c est la vie ! Notre coeur bat en moyenne 1, 16 fois [par secopnde soit plus de 100.000 par jour et 36,8 millions de fois par an. Le coeur aura battu 3 milliards de fois pour une personne de 80 ans !

 


Il bat donc 70 fois par minute environ donc 200 fois a l heure… Il pompe 5 litres de sang par minute,la totalite du sang contenu dans
le corps, a la vitesse de 2 km/h il faut au sang 13 secondes pour aller d’une main a l autre et 2 secondes pour voyager de la cuisse aux pieds. Le coeur pompe 360 litres de sang par heure, 3 millionms de sang par an et pres de 250 millions de litres au cours d une vie a travers un reseau de veines, d arteres et de capillaires d environ 200000 km. environ 4 fois le tour de la terre, juste pour dire que tout dans l organisms se fait dans le mouvement. Les poumons sont aussi dans un perpetuel mouvement l arret signifie la mort.

 

 

On peut et doit pratiquer une actvite physique et sportive adaptee a son age et a ses besoins tout au long de sa vie. Le sport a un impact positif sur l ensemble des grandes fonctions de l ‘orgamisme . Il influence positivement votre etat de sante, votre humeur et permet une meilleure qualite de vie, un meilleur rendement intellectuel et meme au nivveau professionnel, le sport permet de reduire la resistance a la fatigue, l’endurance et ainsi diminue les taux d absenteisme, et du presenteisme qui sont deux facteurs limitatifs du rendement au niveau de l entreprise et de la societe.

 

 

Pour le diabete il a ete etabli les diabetiques sont en general davantage exposes ou victimes des maladies cardio circulatoires et des maladies liees aux disfonctionnement des echanges cellulaires.

 

Les diabetiques de Type 1 et type 2 ont un plus grand risque d AVC, d’infarctus du myocarde, de problemes arteriels , ou de problemes renaux.

 

Presque 90% des diabetiques de type2 et 1/3 des diabetiques de type 1 souffrent d’hypertension arterielle.

 

 

Le Sport permet a defaut de prevenir l installation de ces maladies liees a la sedentarite et au manque d’hygiene de vie il permet d’en reduire l’impact sur votre quotidien.

 

Lorsque le corps ne parvient plus de maniere autonome a reguler la glycemie, il est important de changer vos habitudes et dans la plupart des cas l adoption d’une meilleure hygiene de vie suffit a avoir le controle de votre glycemie en main: reduction du poids corporel, meilleure hygiene alimentaire avec la reduction drastique des glucides, et l activite physique adaptee sous le controle d’un personnel qualifie, avec prescription prealable de votre medecin traitant et un feed back regulier … L’interdiction ici est la connaissances du patient, son histoire, son vecu sportif, son Etat de sante et les variables a tenor en compte pour etablir son programme d entrainement et la planification de la charge, l’intensite et le type de travail a lui proposer. Bien souvent le diabete s acompagne de maladies dites opportunistes qui peuvent rendre la pratique plus compliquee car elle necessity des dispositions specifiques qui si elles ne sont pas respectees pourraient avoir des consequences dramatiques par exemple dans le cas d un patient souffrant de probleme cardiaque il est indique d avoir une unite d intervention specialisee capable d’intervenir tres vite en cas de besoin.

 

 

Pour le diabetique du Type 2 l’ activite augmente la sensibilite a l’insuline les cellules de l organisme reagissent mieux a l’insuline disponible dans l organisme et ceci a comme conmsequence la reduction de la glycemie.

 

 

L’ organisme humain pour produire l energie necessairee a l activite physique et sportive, brule les sucres contenus dans les reserves intra musculaires de l organisme dans les toutes premieres minutes de l activite physique et sportive, il s agit de la glycolyse aneorobie. Tres vite les reserves intramusculaires sont epuisees, l’ organisme a alors recours a la seconde phase de production d’ energie la glucolyse aerobie. Cette phase se fait avec phosphorilation oxydative, le bilan energetique est environ 20 fois plus elevee ce qui dans le cas de notre patient diabetique de type 2 permet un grande debauche du sucre contenu dans le sang et donc un meilleur taux glycemique. Ceci est lie a un risque tres eleve d’hypoglycemie pour le patient de type1.

 

 

Un autre effet favorable de l activite physique sur le sujet diabetique, de type 2 est la reduction de sa dependance aux medicaments. Dans les societees developpees notamment l Allemagne, les caisses de securites sociales, organisent et promeuvent la pratique physique de leurs clients car ils ont la preuve grave a des recherches effectuees dans Ce domaine que les activites physiques leur font economiser beaucoup d argent… Meme chez les clients deja malades.

 

 

L’ activite rend le coeur plus performant, et ameliore le systeme et la fonction circulatoire, un coeur entraine bat plus fort, pompe mieux le sang et alimente mieux les muscles qui sont mieux irrigues le risque de problemes arteriels, cardiaques et d hypertension arterielle diminue de maniere significative.

 

 

L activite physique reguliere developpe la masse musculaire, et reduit ainsi la formation de tissus adipeux, surtout au niveau du coeur et des arteres….Cette masse musculaire meme inactive a une plus grande consommation d energie contrairement aux tissus adipeux, et consommation d’energie au niveau de l organisme quivaut a consommation du sucre contenu dans l organisme, donc impact certain sur la glycemie dans tous les cas.

 

 

Il est important de preciser qu il s agit pour les sujets de type 2 d’ une activite physique en aerobie, c est a dire en endurance, donc durant environ 20 a 45 mn avec intensite moderee les battements cardiaques doivent etre entre 120 et 140 battements par mn, l’ individu doit se sentir a l aise car il y a passe le seuil aerobie, et il y a un equilibre entre les depenses energetiques et la production energetique, la concentration d’acide lactique est largement inferieure aux capacites d’epuration de l organisme et permet donc une activite tres confortable et de longue duree.

 

 

L activite physique avec la debauche d energie qui la carcterise, aide a moderer le stress, ce qui a un impact positif sur la maladie et la regeneration cellulaire, ameliore la coordination, les sensationskinesthesiques et l’ equilibre moteur en renforcant les os, et la musculature de soutien ce qui reduit les risques de chutes et leurs consequences surtout chez le sujet d age plus avance.

 

Par ailleurs l activite physique favorise la production du HDL ce qui a un impact positif sur les arteres et influence positivement la dependance aux medicaments surtout pour les sujets hypertendus.

 

L activite augmente la resistance a la fatigue, repousse le seuil de fatigue, augmente l’aptite de a l effort, pendant l exerecice en endurance le corps puise egalement dans les reserves musculaires de graisse ce qui conduit a bruler la graisse comme on dit couramment.

 

 

Le sport ameliore la sociabilite, et permet une meilleure integration dans la communaute.
Tout ceci est est valble pour l etre humain en gfeneral mais pour le diabetique en particulier surtout de type 2.

 

Pour ce qui est du diabetique de type 1, je conseillerais de ne jamais pratiquer sans prescription medicale et sous la supervision d’un professeur d’education physique certifie. Assurez vous de la qualification de votre moniteur c’est important.

 

 

Dans notre pays helas, ce secteur de la pratique sportive n’est pas tres bien controlee . Beaucoup de personne actifs dans nos salles de sport ne sauront pas vous dire comment fonctionne le coeur a l effort, encore moins vous dire les pricipes elementaires de l entrainement sportif, ou tout simplement vous dire comment prendre le pouls .

 

En principe c est a l’ Etat de veiller a cela je me rappelle avoir eu des clients en reeducation qui me venainet avec des vertebres et un dos en lambeaux ou presque consequence d’une pratique gladiatesque sous la direction d’un profane qui confond amour du sport et expertise en sport…..

 

Il est important de stimuler ce qui peut l etre afin de lutter contre les maladies et maintenir les fonctions vitales, cela peut se faire avec un travail musculaire modere, exercices adaptes, et sous surveillance de votre medecin traitant.

 

 

Les bénéfices du sport pour les patients diabétiques de type 1 sont les mêmes que pour la population générale. L’activité physique peut donc être recommandée aux diabétiques de type 1. Toutefois, les complications du diabète peuvent contre-indiquer la pratique de certains sports.

 

L’activité physique a une influence importante sur le métabolisme des patients diabétiques. L’hypoglycémie représente le risque majeur en lien avec l’effort, mais il existe aussi des situations particulières dans lesquelles les patients peuvent être confrontés à des hyperglycémies.

 

 

Pour éviter les hypoglycémies en lien avec le sport, il est normalement nécessaire de réduire les doses habituelles d’insuline et d’ingérer des glucides supplémentaires. Ces adaptations sont individuelles et diffèrent selon les patients et le type de sport. Les diabétiques de type 1 peuvent appliquer certaines recommandations générales, mais une surveillance supplémentaire doit être réalisée, notamment en augmentant le nombre d’autocontrôles glycémiques pendant et après le sport afin d’adapter au mieux l’apport en glucides et les doses d’insuline.

 

 

Les hyperglycémies peuvent survenir lors d’efforts violents associés à une forte augmentation des hormones de contre-régulation. Elles apparaissent pendant ou parfois après l’effort, sont normalement transitoires et ne nécessitent pas de correction.

 

En cas de déséquilibre du diabète (hyperglycémie) avec présence de corps cétoniques urinaires ou plasmatiques, il faut renoncer au sport dans l’immédiat.

 

 

Implications

 

1. Il ne faut pas déconseiller la pratique du sport aux diabétiques de type 1, mais plutôt l’encourager

 

2. Un bon enseignement, expliquant les troubles glycémiques qui peuvent survenir à l’occasion d’un effort, va permettre au patient de prévenir les perturbations glycémiques

 

3.La prévention des hypoglycémies nécessite souvent un apport en glucides supplémentaire associé à une réduction des doses habituelles d’insuline

 

4. Les hypoglycémies représentent le risque majeur d’une pratique sportive, mais lors d’efforts violents, des hyperglycémies généralement transitoires peuvent survenir

 

5.Des recommandations générales pour adapter l’apport en glucides et réduire les doses d’insuline peuvent être données, mais une surveillance supplémentaire (augmentation des autocontrôles glycémiques) est nécessaire afin de mieux définir les besoins individuels (Sces Revue medicale Suisse, Deutsche Reha Sport Verein Berlin. )Alors bandez les muscles et montrez a votre diabete de quel bois vous vous chauffez !

 

 

Françoise Héléne Gaye Ditwiler diplomée en Science du Sport

 

 

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