Figer le seigneur dans le domaine qui dérive des livres, c’est le canaliser. Alors que la divinité est d’une multidimentionnalité purement complexe que le verbe ne puisse exprimer dans sa véritable originalité. Il n’est pas de divinité ce que l’on pense de DIEU. La notion de la divinité émane de 201 énigmes. Les connaissances métaphysiques demeurent impénétrables quant à celui qui ne s’y prépare. C’est dès lors qu’on comprend que le zikr est l’étape ultime et décisive qui permet de transcender dans les profondeurs.
Cependant, un guide spirituel est crucial, parce que c’est le domaine le plus déséquilibré qui soit. Le parfait guide est celui, qui comprend le niveau d’élévation du périple sans en être avisé, et qui est capable de contrôler au détriment de la volonté de l’aspirant l’itinéraire de son aventure. C’est la raison pour laquelle, l’on ressent des hauts ainsi que des bas, ne représentant non pas une déliquescence mais une canalisation pour que ne devienne la vogue, un dérapage. Car si l’aspirant n’est pas guidé dans sa navigation, il risque de voguer dans des univers cahoteux où le cataclysme est le plus probable. Au bout du compte, gare à celui qui s’y faufile sans préavis, il n’est pas libre à quiconque de s’y risquer. C’est le zikr qui permet de percer les réalités. Ainsi, l’Akhtab Maodo est l’illustration la plus congrue quand on se rend compte qu’il a emporté avec lui son chapelet à sa mort. Plus on est de lumière, plus on comprend.
La philosophie spirituelle est le centre d’où émerge les connaissances logées dans les profondeurs de la divinité. Ainsi Medina Cheikh a sa marque ostentatoire de l’universalité du zikr parce qu’elle le considère comme un CREDO. Une université où le maître d’une netteté pure nous fait comprendre que la juste et efficace manière d’y parvenir c’est de se conformer à cette fameuse formule, je cite « Croire en MAWLAYA CHEIKH est le seul remède pour une âme, vivifier son zikr est un viatique sur pour la rédemption éternelle du cœur »
Mawo FALL
